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Par Tout Samba'L le jeudi 1 septembre 2016, 10:06 - Spectacles Tout Samba'L - Lien permanent
Exilod (création 1994, reprise 2012 - tout public, tous pays)
Nous égarer pour vous trouver, pérégrination amnésique...
<> Exilod, Répétition à la Cîmenterie (04) 2011, © Yann Sévrin
Spectacle déambulatoire d’intervention, d’improvisation avec le public, la ville, le paysage, les voitures, les interstices de la vie…
« L’envie de jouer ce spectacle, après 16 ans est toujours vive. À mi-chemin entre la comédie et l’exploration, notre travail consiste à être en état d’amusement constant avec les situations, les lieux, les gens... »
Sortis d’une fissure du mur, Linotte, Rémembère et Ch’aipus déambulent dans un trou de mémoire. Personnages aux regards décalés, ils nous entraînent dans une folle pérégrination au creux du quotidien, bousculent les habitudes et sèment une joyeuse pagaille avec impertinence et chaleur du cœur.
Ils ne sont jamais d’ici, mais partout chez eux. Valises à bout de bras et plans en main, porteurs de rêves sur les quais improbables, ils revisitent le cœur de la ville et du spectateur. Chaque rencontre ou situation est un trampoline d’instants privilégiés chargés de rires et d’émois. De jeux de mots en jeux de rues, de noms de rues en cartes improbables… ils déploient l’utopie de la citée au gré des plans traficotés, pour mieux vous perdre dans votre propre ville.
Plusieurs fins possibles : mémoire des pas dansés, mémoire de la terre ou création sur mesure... Collectage de mémoires et paroles d’habitants mises en formes et en jeux durant le spectacle…
- « Leur candeur remet en cause, l’air de rien, tout un pan de notre sociétale modernité. L’usage de la voiture … les digicodes, la méfiance ambiante, alarmes protections divers… Le lien entre les gens qui s’effiloche sans qu’eux mêmes ne s’en aperçoivent. La rue étrangère à l’Homme… » L’Urbain hebdo, décembre 2005.
- « Ils créent avec le public une vraie émotion partagée, Stoppant des voitures impertinentes... Le dialogue se noue, le public se prête au jeu. Les Exilodes ont perdu la mémoire mais le spectateur s’y retrouve... Ils sont restés en perpétuel état d’éveil et d’improvisation. » Le Dauphiné libéré, juillet 1997.
Le spectacle se joue également en intérieur :
Les Exilodes à la bibliothèque
Les Exilodes au musée à la recherche de la mémoire des temps antiques
Commentaires
—Habéis superado la última prueba, jóvenes
Shadopan.
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